HISTOIRE
Hikari no ya mune wo sasu
Kou est d’origine japonaise. En effet, son arrière-grand-père était un homme influent sur la Terre, très porté sur la conservation du sang japonais. De ce fait, il est sans doute un des rares sangs encore mono ethnique.
Il a été élevé dans un monde très « fermé » alimentant ainsi sa vison fermée des femmes et de leurs rôles et places dans la société. En effet sa mère était une femme très discrète, serviable et docile. Jamais elle n’éleva la voix sur son mari ou son fils unique qu’elle aima de tout son cœur. Il avait appris à respecter les femmes, mais estimait que leur place restait dans la maison et non dans le milieu du travail.
Le père du jeune homme quant à lui était un homme droit, dur et strict. Lui-même militaire de carrière, il éleva Kou avec rigueur et sévérité. Lui inculquant des valeurs assez étroites d’esprit. Mais pas que, aussi il lui enseigna le « kiu ku shin kai », art martial particulièrement violent, grâce auquel il forgea son corps et se prépara à sa future carrière.
A sa sortie de lycée, où il était assez à l’aise intellectuellement, Kou se tourna comme le fit son père avant lui vers les forces de l’ordre, intégrant la formation de Gardien de la zone « rouge ».
Les années passèrent et la mentalité de Kou s’affirmait, accentuant ses traits de caractère les plus sombre : violence, sadisme et froideur. Au fil du temps, ses collègues et ses supérieurs l’appelèrent « Le broyeur ». Tant psychologiquement que physiquement il brisait ses victimes, toujours sous le contrôle de ses supérieurs, lors des divers interrogatoires qu’il leurs faisait passer.
Entre autre, il devint la « bête noire » des rebelles et de certains criminels, soit par expérience soit par « rumeurs ».
Cependant, il ne se plaisait pas pour autant dans sa tâche ingrate. Il décida de se tourner vers le domaine de la garde extérieur, au grand désespoir de son chef de peloton.
Il passa la formation avec succès et intégra un premier peloton sans réelle expérience. Au fil des expéditions, Kou gagna en expérience et aussi en esprit d’équipe, il se noua d’amitié avec certain de ses équipiers qu’il gardera plus tard dans sa propre brigade. En effet, il gravit les échelons et devint commandant de sa brigade d’exploration.
A présent, Kou Tachibana a 27 ans. Il est un homme droit, strict et réfléchi, malgré son parcourt en école de Gardien, sa nouvelle vocation lui avait appris à être moins impulsif, plus calme et à l’écoute de ce qui l’entoure.
A présent un homme stable et fier de son parcourt, Kou habite dans un logement de fonction de la base militaire et prend le temps de rendre visite à sa mère qui mène toujours sa petite vie dans la maison familiale au côté de son époux. Maintenant que sa carrière professionnelle est tracée, il ne pensait pas que son père trouverait encore une chose à redire sur sa vie.
« A présent, tu dois aspirer à une descendance digne du nom Tachibana. »
Il a été élevé dans un monde très « fermé » alimentant ainsi sa vison fermée des femmes et de leurs rôles et places dans la société. En effet sa mère était une femme très discrète, serviable et docile. Jamais elle n’éleva la voix sur son mari ou son fils unique qu’elle aima de tout son cœur. Il avait appris à respecter les femmes, mais estimait que leur place restait dans la maison et non dans le milieu du travail.
Le père du jeune homme quant à lui était un homme droit, dur et strict. Lui-même militaire de carrière, il éleva Kou avec rigueur et sévérité. Lui inculquant des valeurs assez étroites d’esprit. Mais pas que, aussi il lui enseigna le « kiu ku shin kai », art martial particulièrement violent, grâce auquel il forgea son corps et se prépara à sa future carrière.
A sa sortie de lycée, où il était assez à l’aise intellectuellement, Kou se tourna comme le fit son père avant lui vers les forces de l’ordre, intégrant la formation de Gardien de la zone « rouge ».
Les années passèrent et la mentalité de Kou s’affirmait, accentuant ses traits de caractère les plus sombre : violence, sadisme et froideur. Au fil du temps, ses collègues et ses supérieurs l’appelèrent « Le broyeur ». Tant psychologiquement que physiquement il brisait ses victimes, toujours sous le contrôle de ses supérieurs, lors des divers interrogatoires qu’il leurs faisait passer.
Entre autre, il devint la « bête noire » des rebelles et de certains criminels, soit par expérience soit par « rumeurs ».
Cependant, il ne se plaisait pas pour autant dans sa tâche ingrate. Il décida de se tourner vers le domaine de la garde extérieur, au grand désespoir de son chef de peloton.
Il passa la formation avec succès et intégra un premier peloton sans réelle expérience. Au fil des expéditions, Kou gagna en expérience et aussi en esprit d’équipe, il se noua d’amitié avec certain de ses équipiers qu’il gardera plus tard dans sa propre brigade. En effet, il gravit les échelons et devint commandant de sa brigade d’exploration.
A présent, Kou Tachibana a 27 ans. Il est un homme droit, strict et réfléchi, malgré son parcourt en école de Gardien, sa nouvelle vocation lui avait appris à être moins impulsif, plus calme et à l’écoute de ce qui l’entoure.
A présent un homme stable et fier de son parcourt, Kou habite dans un logement de fonction de la base militaire et prend le temps de rendre visite à sa mère qui mène toujours sa petite vie dans la maison familiale au côté de son époux. Maintenant que sa carrière professionnelle est tracée, il ne pensait pas que son père trouverait encore une chose à redire sur sa vie.
« A présent, tu dois aspirer à une descendance digne du nom Tachibana. »